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il y a 1 an
Chapitre 60 : Spectacle aux fenêtres
Ben m’empoigna l’aspirateur des mains, me facilitant la tâche. Il avait déjà installé la servante vers l’une des grandes fenêtres donnant sur le devant de la maison, si j’en croyais mon sens de l’orientation. La fenêtre montait presqu’au plafond. Je m’y dirigeai. Je n’avais jamais nettoyé une vitre de ma vie. Je ne savais même pas comment l’on faisait. Il m’avait montré l’instrument composé d’une brosse et d’un racloir disposé ensemble au bout d’un bras qui pouvait s’allonger. A nouveau, à cause de mes mains attachées entre elles, et malgré son manche télescopique, la brosse n’atteindrait pas le haut de la fenêtre. Je devais reprendre l’escabeau.
- Commence par les fenêtres de ce côté d’abord ! m’ordonna maitresse Diane, alors qu’on commençait à y distinguer de l’animation.
Je m’y déplaçai, emmenant moi avec la servante le seau et la brosse à vitre, dans un premier temps. Je reviendrai pour l’escabeau. Derrière la fenêtre, l’on pouvait distinguer déjà plusieurs personnes, tous des hommes. Certains s’évertuaient à paraître occupé. L’un taillait une haie déjà bien droite et basse, un autre nettoyait un parterre juste en dessous de l’une des fenêtres. Deux autres s’étaient juste assis sur le banc et discutaient, l’un fumait. J’en vis d’autres, cachés dans le bosquet derrière ledit banc qui m’observaient sans vouloir être vus.
Si Maîtresse Diane pensait que cela me gênerait, elle se trompait. Je n’allais pas non plus dire que j’étais à l’aise, mais j’avais l’habitude depuis plusieurs mois de me dévoiler sur internet. Déguisé comme je l’étais et avec ce loup étrange, dont elles n’avaient pas rabattu les opercules, incompatibles avec les tâches qu’elles m’assignaient, je ne risquais même pas les photos. Je revins avec l’escabeau, plus sûr de moi.
Montant à nouveau dessus, usant du manche télescopique à son maximum, j’atteignais le haut des fenêtres. Pour éviter une punition, je me dépêchais. J’omis donc le savon, car les fenêtres étaient déjà propres et ce qui comptait pour elles, à mon avis, n’était que mes déambulations sans oublier le fait que des voyeurs s’étaient mis de l’autre côté à me reluquer. Donc je ne passai qu’une fois, malgré les indications de Ben.
J'avais évité le regard de ces hommes. Concentré sur mon travail, je les avais presque oubliés, effacés. Grâce à de longs mouvements sur le balai brosse, il ne me fallut qu’un quart d’heure, avant que je décidasse de passer dans l’autre pièce, mais Maitresse Diane m’interrompit :
- Et les vitres extérieures.
Il faisait froid dehors. Nous étions à une semaine des vacances de Noël. Les hommes dans le parc étaient couverts d’écharpes et de gants. J’avais donc supposé qu’elles ne voudraient pas que je les ouvrisse. Soit. Je ferai encore plus vite pour ne pas les incommoder, et par la même occasion, moi aussi, car avec la tenue que je portais, je souffrirais encore plus d’elle. Je voyais les arbres bouger sous le vent et je savais que l’air froid m’agresserait plus que leur regard.
Alors que j’allais ouvrir la première fenêtre, Lady Christine cette fois s’écria.
-
Il est fou. Il veut nous enrhumer.
-
Nettoie-les depuis l’extérieur ! confirma Maîtresse Diane en prononçant les mots lentement.
Le rez-de-chaussée était presque relevé d’un bon mètre, amenant de l’extérieur le haut des fenêtres vers quatre mètres. L’escabeau ne suffirai pas, calculai-je en le regardant.
-
Il y a une échelle dehors. Demande au jardinier. Il t’aidera. En attendant approche, les barreaux sont éloignés. Nous allons élargir la distance entre tes chevilles pour que tu puisses y monter.
-
Puis-je avoir un manteau ? demandai-je naïvement.
Les vibrations coordonnées des tétons et de la cage se mirent en action. Je supputais que cela voulait dire non.
-
Il ne parle toujours pas poliment ? demanda Marguerite.
-
Pourrai-je avoir un manteau, maîtresses, réitérai-je.
Les vibrations se remirent en marche, plus longues, plus longtemps.
- C’est mieux, dit Marguerite. Non ma chérie. Le froid va durcir un peu tes seins. Je les trouve un peu flasque, se moqua-t-elle.
Je pris le seau et le manche télescopique, abandonnant toute idée de produits ménagers. Le manche m’aidait même à marcher en l’usant comme une canne, ou, tout du moins, à ne pas tomber. Je ne connaissais pas la maison. Je ne savais pas par où sortir et devant mon hésitation, notre hôtesse reprit la parole.
-
Lisa, montre-lui la sortie ! ordonna Maîtresse Diane.
-
Bien Madame. Viens-ici soumise ! m’ordonna-t-elle à son tour.
Elle me guida dans un couloir vers l’arrière par les cuisines, me laissant passer devant après m’en avoir indiqué le chemin. Elle avait posé sa main sur une de mes fesses et me guidait comme l’homme dans un couple de danse de tango.
-
C’est vrai que tu es mignonne, me dit-elle. Je suis sûr que tu vas leur plaire.
-
Plaire à qui ? demandai-je.
-
Aux employés dehors.
-
Je suis un mec. Ils vont bien le voir, rétorquai-je, en montrant du menton mon sexe encagé.
-
Maîtresse Diane n’embauche que des homosexuels, bien qu’aux regards de certains, j’en soupçonne certains d’être bi. Elle ne veut pas à avoir à repousser leur avance. Et cela fait longtemps que Ben et Nathan ne leur plaise plus.
-
Et Médor ?
-
Ils n’ont pas le droit de jouer avec lui. Tu ne l’as pas reconnu.
-
Non, je le connais ? demandai-je, ne me rappelant même plus qu’il ait lever le visage sur moi.
-
Tout le monde le connaît. Il travaille au gouvernement, un secrétaire d’état ou un ministre. Il passe souvent à la télé, mais pas dans le même costume, ria-t-elle de sa plaisanterie.
-
Je ne m’occupe pas de politique, répondis-je sans me préoccuper des métiers de chacun.
J’allai ajouter que je n’avais pas l’âge de voter, mais ce n’était plus le cas. Je distinguai du fond des cuisines la porte extérieure, mais elle donnait de l’autre côté, vers la salle à manger, à l’opposé.
-
Ce n’aurait pas été plus court par devant ?
-
Si bien sûr et beaucoup trop facile aussi pour toi, dit-elle simplement, comme si cela justifiait son choix.
A peine la porte ouverte, que le froid s’insinua partout sur moi, comme si nous avions ouvert un congélateur. Elle attrapa son manteau et se couvrit.
- Ce serait dommage que j’attrape froid, dit-elle en me contemplant quasiment nu de haut en bas.
Dehors il n’y avait pas de terrasse goudronnée, juste un chemin de terre, caillouteux. De plus, c’était la face nord, il était en partie encore recouvert de neige camouflant ce qui s’y dissimulait. A peine descendu de l’escalier que mes hauts talons s’enfonçaient dans ce mélange de neige et de boue que cette précédente avait formé avec la terre. Le manche ne m’aidait plus tellement, mais suivant les conseils de ma maîtresse, je le gardais devant moi, le balayant comme un aveugle pour en dégager la neige et le parcours. L’idée était que si je trébuchais, je pourrais toujours pousser dessus pour tomber en arrière. Sur le plug ! pensai-je soudain, peu rassuré de cette option.
Le froid était pénétrant. Nous n’étions plus au centre-ville et le vent, soufflant dans le parc, prenait de la vitesse. Il ne devait faire que quelques degrés au-dessus de zéro. Avec juste des sous-vêtements, comme dirait celle qui présentait la météo, le ressenti était différent. Je voulais agir vite, mais rien que de devoir faire le tour de cette bâtisse en piétinant et j’étais gelé. Lisa continuait à me pousser sur la fesse, me la pelotant avidement. C’était gênant, d’autant que mon sexe n’en restait pas insensible.
Quand je tournai au second coin, arrivant enfin à la façade des fenêtres, dont j’avais la mission de nettoyer, je vis tous ces hommes me regarder. Ce n’était plus derrière la protection de la caméra, ni même de celle d’une vitre. Non seulement ils étaient devant moi à quelques mètres, mais j’avançais vers eux. Je ne pouvais plus les ignorer, les occulter.
J’étais bizarrement content de porter ce plug finalement, même s’il me brûlait le cul, me frottant à chaque pas que je réalisais.
Je déplorai qu’il ne soit pas, comme ma cage, équipé d’un cadenas.
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